Mouais... passé l'euphorie de la vente, une fois revenu sur terre (et s'être rendu compte qu'il n'était pas possible de rouler avec sa merveille sur routes ouvertes, accessoirement), j'espère que les lendemains de fête ne vont pas trop déchanter... vues les sommes dépensées...
Phénomène spéculatif qui à mon avis tue la possibilité aux vrais collectionneurs de se faire plaisir.
Marseille, rien que pour le meilleur.
De la rue de la République aux collines du Garlaban