Mécanique BMW X5 I (E53) (2000  -  2007 )

De la noblesse sous le capot

29 août 2012


Quelle que soit la motorisation, le plaisir de conduite est au rendez-vous. Y compris avec le diesel, qui n'est pourtant pas la version la moins puissante de la gamme.

Mais le 6-cylindres BMW, onctueux et non dépourvu de caractère, offre un très bon agrément, avec de bonnes montées en régime et des sonorités toujours agréables.

Dans sa seconde définition (218 ch au lieu de 184), son caractère s'affirme et les relances sont plus vigoureures.
 

Tempérament de feu

En version essence, c'est aussi du plaisir que distillent les mécaniques déjà connues sur les berlines de la marque. Les très bonnes prestations du 6-cylindres sont fournies dans un grand confort acoustique.

Sur le V8, le niveau est encore meilleur. Les modèles iS, résolument tournés vers la performance, ont des tempéraments de feu qui raviront les amateurs de sportivité.

Ces moteurs sont accouplés à des boîtes de vitesses le plus souvent automatiques, dont l'efficacité et le confort de fonctionnement sont véritablement exemplaires.

Qualité & fiabilité

Solidité évidente
Les 6 et 8 cylindres déjà connus sous le capot des berlines de la marque encaissent sans effort le poids supplémentaire de ce 4 x 4. Ils affichent une santé mécanique certaine, y compris les diesels, dont la cavalerie moins importante est pourtant davantage sollicitée.

Cependant, quelques soucis de turbo sur le moteur 3.0 d ont été constatés jusqu'en novembre 2003.

Et, toujours en diesel, quelques problèmes d'encrassement du débitmètre sont apparus jusqu'en novembre 2002.

La longévité de ces moteurs est du même ordre que sur les autres modèles de la marque.

Sur les boîtes automatiques, quelques cas de bruit (grondement sourd) avec un à-coup lors des rétrogradages ont été détectés.

Leur remise en état a été souvent prise en charge par BMW.