Le CNPA lance une campagne pour valoriser l'image des concessionnaires
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Le CNPA lance une campagne pour valoriser l'image des concessionnaires

Le CNPA a publié les résultats de son étude « Les Français et les concessionnaires automobiles ». Environ 1 sondé sur 3 estime que les concessions automobiles vont disparaître. L'organisation lance une campagne de communication pour valoriser la profession.

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La campagne « Ma concession, c'est la solution » va s'étaler du 18 octobre au 12 décembre 2021

Pour épauler les concessionnaires automobiles, qui « font face à de multiples défis, une transition écologique et numérique sans précédent conjuguée à un contexte économique dégradé », le CNPA a décidé de lancer une campagne de communication valorisant les atouts du métier. Celle-ci, qui a pour signature « Ma concession, c’est la solution », va s’étaler du 18 octobre au 12 décembre 2021. Elle sera visible à travers un spot TV qui sera diffusé sur BFM TV et RMC Découverte, dans la presse quotidienne régionale, sur le Web ainsi que sur les réseaux sociaux Le CNPA indique que cette campagne s’appuie en parallèle sur une charte listant les engagements concrets pris par les concessionnaires au service de leurs clients, document qui sera relayé dans les 7 000 concessions maillant le territoire français.

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Les concessionnaires ont encore des arguments

L’organisation patronale vient également de publier les résultats d’une étude d’opinion qu’elle a commandée auprès de l’institut Harris Interactive pour le CNPA. Baptisée « Les Français et les concessionnaires automobiles », celle-ci a été menée en ligne du 7 au 12 juillet 2021 auprès d’un échantillon de 1 022 personnes âgées de 18 ans et plus, représentatives de la population française. Il en ressort que près de 90 % des Français jugent positivement leur expérience en concession automobile ; une proportion qui monte à 95 % chez les 18-24 ans. Selon le CNPA, 82 % des Français et 89 % des 18-24 ans déclarent qu’ils utiliseraient les services de la même concession dans le cadre d’un futur achat.

Le CNPA a publié les résultats de l'enquête « Les Français et les concessionnaires automobiles ».
La possibilité de revendre son ancien véhicule (83 %), le conseil apporté aux clients (82 %), l’accompagnement sur les aides à l’achat (bonus, PAC… 82 %) sont les trois propositions concernant les concessionnaires qui recueillent le plus d’avis favorables de la part des personnes interrogées. La possibilité de réaliser un essai du véhicule de même que l’accompagnement d’un professionnel en cas de souci après l'achat sont également considérés comme essentiels pour les sondés. Ainsi, 66 % des Français (70 % chez les 18-24 ans) déclarent vouloir acheter leur future voiture neuve en concession, contre 13 % seulement qui seraient susceptibles de le faire par Internet. Un répondant sur deux a déclaré vouloir acheter sa future voiture d’occasion en concession, contre 20 % en ligne. Il ressort de l'enquête que les jeunes se montrent les plus attirés par le modèle de particulier à particulier. 

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Une image globalement positive

Parmi six professions citées par l’institut de sondage, les opticiens et les artisans sont ceux qui recueillent les meilleurs scores d’image (90 % de bonne image). Les concessionnaires automobiles et les garagistes se hissent aux 3e et 4e rangs avec près de 7 Français sur 10 qui ont une bonne image de ces deux professions. Un tiers des sondés en ont donc une mauvaise image. Viennent ensuite les agents immobiliers et les assureurs, avec respectivement 59 % et 53 % de bonne image.

Les sondés partagés sur l'honnêteté des concessionnaires 

Autres points positifs, 8 Français sur 10 considèrent les concessionnaires automobiles comme « sympathiques, compétents et utiles ». Le CNPA rapporte même que « 34 % d’entre eux craignent la disparition des concessionnaires et 54 % en seraient très tristes ». En revanche, seuls 58 % des sondés les jugent pédagogues et 53 % honnêtes. Enfin, environ un répondant sur trois estime que les concessions automobiles vont disparaître. Ils sont même plus de la moitié à le penser chez les moins de 35 ans. Selon les personnes interrogées, leur pérennité repose sur l’accompagnement dans les démarches administratives, les conseils sur les enjeux environnementaux et sur le développement d’une offre multimarque. Chez les plus jeunes, c’est surtout la digitalisation de leurs services qui est mentionnée.

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